Les tests aux limites:
La locomotive roule bien sur les rails, par contre elle ne peut pas rentrer dans certaines gares.
Couverture sans tests aux limites:
On a donc ici toute une zone où le comportement de l’application est inconnu, et ce malgré un nombre important de tests. Les tests sont donc peu efficaces.
Couverture avec tests aux limites:
Contrairement au schéma précédent, ici on a toujours le même nombre de tests (8) mais il n’y a pas de zone « grise » où le comportement de l’application n’est pas connu.
Tests mobiles:
On ne peut pas tester tous les téléphones, il faut faire des choix:
On voit avec ce schéma (et les 2 suivants) qu’il y a une multiplication des versions d’OS et des modèles de téléphone. Une exhaustivité des tests est alors quasiment impossible.
Part de marchés des différentes versions d’OS Android:
Part de marché des différents constructeurs sous Android:
Les applications avec bugs en production:
Une application n’est pas « mauvaise » ou « non testée » car elle contient des bugs. Les applications sortent souvent avec des bugs connus. Il y a également des bugs non découverts avant leurs sortis en production (scénario non couverts par les tests). D’une manière générale, une application avec 0 bug n’existe pas (car coûte trop cher à mettre en place).
Automatisation:
Automatisation « classique » (ex: application web):
Automatisation avec appareils mobiles:
Un appareil est ajouté et donc des liens. La mise en place de l’automatisation est dès lors plus complexe.
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